
Mardi 8 décembre pass, le Royaume-Uni a commencé à distribuer le vaccin contre le Covid-19 mis au point par le laboratoire américain Pfizer et son partenaire allemand BioNTech. Il a été suivi par les États-Unis , le Canada, le Bahreïn et le mexique .
L’Agence européenne des médicaments a annoncé qu’elle se réunirait , afin de rendre un avis sur le vaccin Pfizer-BioNTech. Les premiers Européens pourraient ainsi être “vaccinés avant la fin 2020” selon la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen. Mais ces campagnes de vaccination alimentent déjà des rumeurs sur les réseaux sociaux et des centaines d’internautes ont relayé une information contenue dans un document, daté du 10 décembre, de L’Agence américaine des médicaments, à propos du vaccin. Il y est indiqué que quatre des participants aux tests du vaccin Pfizer-BioNTech contre le coronavirus ont développé une forme de paralysie faciale temporaire, appelée paralysie de Bell. Cette pathologie se caractérise par une atteinte du nerf facial qui entraîne la paralysie du visage. Ce trouble peut toucher tous les âges, et les facteurs de risque comprennent les grossesses, l’obésité, l’hypertension, le diabète et les affections des voies respiratoires supérieures.

Mais il n’est pas certain que ce soit un effet secondaire du vaccin développé par Pfizer-BioNTech.
Cela dit, le vaccin a dénoté des effets secondaires, parmi lesquels ; de la fatigue, des maux de tête, des frissons, des courbatures, de la fièvre et d’importantes allergies.
Par ailleurs et malgré les assurances des différentes agences pharmaceutiques et médicales, certains scientifiques comme le professeur Christian, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, «Il existe un risque réel de transformer no gènes définitivement. Les vaccins annoncés par Pfizer/BioNTech et Moderna sont des vaccins dits à “ARN messager”. Ce type de vaccins n’a jamais été déployé à grande échelle, d’où des interrogations légitimes. Mais il est inexact de dire qu’ils modifient nos gènes pour toujours. Pour comprendre, regardons une cellule du corps humain : au centre, un noyau, où est stocké l’ADN. Il baigne dans du cytoplasme, et l’ensemble est protégé par une membrane. L’ADN contient les recettes de fabrication des protéines, essentielles à la vie des cellules et de tout organisme, mais il ne les fabrique pas. Ces « recettes » doivent d’abord être traduites sous forme d’ARN, une molécule moins stable que l’ADN, et être acheminées vers le cytoplasme, où a lieu la fabrication. L’ARN devient alors « ARN messager ».

Il continue « L’idée du vaccin à ARN messager est d’introduire dans le cytoplasme de nos cellules des « recettes » éphémères pour assembler les molécules caractéristiques du coronavirus, et notamment la protéine Spike, qui permet au coronavirus de rentrer dans nos cellules. Ce qui lui permet d’apprendre à fabriquer des anticorps contre le virus. Mais cet ARN messager ne migrera pas vers l’ADN des cellules. Seuls les rétrovirus – comme le VIH – savent opérer une telle “rétro-transcription”. Le coronavirus, lui, ne sait pas le faire ».
Il ajoute « En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19. Surtout que beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Plusieurs nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact. Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxy chloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Toutes ces mesures sont faites pour que les Français et le monde entier réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices car la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. Surtout qu’il s’agit non pas de vaccins proprement dit, mais de produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

Depuis la nuit des temps des rétrovirus « domestiqués » dits « endogènes » sont intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus sont habituellement inoffensifs, mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés).
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus ».
En conclusion, je laisse à mes lecteurs la liberté de choisir s’ils veulent se faire vacciner par cet élixir. Personnellement, je n’ai aucune envie de me retrouver un matin transformée en aubergine ou mieux encore en courgette.