Personne ne sait ce que le destin lui réserve. Parfois, il nous sourit, nous réservant des opportunités, nous ouvrant les portes de la fortune. D’autres fois, il est cruel et nous opprime par ceux que nous avons considérés, à un moment donné de notre vie, comme les plus proches de notre cœur et de notre âme.
Toutefois, il y a toujours un rayon de lumière au bout du tunnel et une aurore d’espoir dans les moments les plus difficiles. Cela dit, l’histoire qui va être racontée, est un miroir de ce qui a été invoqué.
Il était une fois, une femme du nom de Mirvat Sarkis qui a immigré à la fin du siècle dernier et plus précisément en 1999, sur l’île de #Malte, célèbre pour le grand nombre de touristes qui y débarquent, venant des quatre coins du monde, à cause de sa beauté et de son histoire antique. Là, elle épouse un Maltais, mais à cause de son dynamisme, de son amour de la vie et de tout ce qui est beau, de son ambition et surtout de l’énergie positive qui émane d’elle, elle ne put rester à la maison et se retrouva directrice du commerce de l’un des magasins les plus réputés de l’ile, spécialisé dans la vente des produits de luxe ; vins, cristaux, cigares…
En raison de la proximité de ce magasin du port de Malte, où les yachts de la classe élite mondiale ancrent, Mirvat fait la connaissance de nombreuses personnalités, surtout des experts et des amoureux du vin. Jusqu’au jour où un documentaire est projeté sur l’une des chaines télévisées maltaises, et qui relate l’histoire d’un vin chilien « Montes » et comment le propriétaire de l’entreprise a été impliqué dans un horrible accident routier duquel il est sauvé par un ange qui lui demande de prendre soin de ses terres, offrant des opportunités d’emploi aux chômeurs de sa région.
Cependant l’histoire ne s’est pas arrêtée là, car, non seulement cette homme pris soin de ses terres, mais y a également planté des vignes et fonda une cave. Il plaça un ange couleur pourpre à l’entrée de son vignoble, habilla ses tonneaux réservés dans un amphithéâtre, de velours rouge et y fit jouer de la musique grégorienne tout au long de la journée car dans le monde fantastique du vin, tout est question d’énergie.
Cette histoire l’a tellement fascinée, qu’elle n’a pas hésité à acheter des livres pour se renseigner sur l’industrie du vin et sa culture. Plus elle s’y approfondissait, plus elle était ensorcelée par ce monde magnifique. Cette nouvelle culture qu’elle avait acquise, a incité ses patrons à lui faire plus de confiance, au point de lui assigner les responsabilités et les tâches du maitre de cérémonie.
Cette rêverie s’est poursuivie jusqu’en 2010, lorsque la bougie d’un autre rêve s’est éteinte. Mirvat divorce et rentre chez elle, le cœur brisé mais pas la volonté. Elle ouvre avec sa sœur une entreprise pour l’art de la table. En même temps, elle commence à suivre des cours de #WSET et en parallèle prépare et présente des ateliers de « Fun Wine ».
En 2019, après l’effondrement économique, les ventes de son entreprise chutent, surtout avec le confinement imposé à cause du #Covid.
Encore une fois, elle ne cède pas et ne se soumet pas à l’amère réalité car elle est une combattante qui refuse de rester chez elle à se lamenter. Ne baissant pas les bras et ne se laissant pas emporter par le découragement général, elle se rend chez l’un des producteurs de vin artisanal libanais et lui achète une seule boite de 12 bouteilles, qu’elle revend et livre elle-même à ses amis et connaissances. Impressionnés par le goût délicat et la qualité du vin libanais, ces derniers lui en commandent régulièrement.
A la fin du confinement, elle décide de rouvrir sa boutique, se spécialisant cette fois-ci dans la vente des produits libanais, en particulier du vin libanais qui, à son avis, a beaucoup de potentiel. Pourquoi ?
Parce que chaque bouteille raconte une histoire ; l’histoire du vigneron, du vignoble, de la cave… le vin, « gouttes divines » interprète le caractère du vigneron, il nous dévoile les secrets de son terroir et de sa création ; les vins bios, naturels et bio-naturels créées selon des normes ancestrales, traduisent minutieusement les codes du coteau où les vignes poussent sans labour, sans pulvérisation ni fertilisation et sont cueillis selon le cycle lunaire puisque le magnétisme y joue un rôle fondamental, ils décodent les règles de leur fabrication : la fermentation de ces vins dépend de la levure qui pousse naturellement sur la peau de raisin et sont préservés sans additifs.
Elle a conclu son histoire en disant que si elle n’avait pas été propriétaire d’une entreprise, elle aurait bien sûr, représenté le vin libanais dans le monde, car il est à l’image du peuple de ce pays ; un lutteur : le raisin avec lequel il est conçu, pousse sur toutes les altitudes, s’adaptant à la chaleur, le sol et la pression atmosphérique.
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