Aimer est une attitude; sauvons les animaux au lieu de les vendre.

4.2K

Il est tout à fait naturel d’aimer un animal domestique, (chien, chat, oiseau, hamster… Après tout, ce sont des créatures qui portent en elles une forte énergie positive.

Les animaux, surtout domestiques sont, non seulement plaisants, agréables et fidèles mais aussi très espiègles, enjoués et innocents.

 Ils sont incapables de la moindre méchanceté ou hypocrisie. Peut–être de petites bêtises, surtout quand ils sont mal dressés ou mal traités. Quiconque créature a le droit de se défendre après tout. Ce que, nous autres humains, ne comprenons pas la plus part du temps.

Le pire, c’est quand nous, humains, décidons d’en acheter un, sans prendre en considération que ces créatures sont avant tout des âmes, d’éternels bébés qu’il faut prendre en charge et en avoir la responsabilité.

Mais malheureusement, nous les achetons et à la première gaffe, ces pauvres âmes finissent dans la rue. Pourquoi ? Parce que la majorité des propriétaires des animaleries ne mettent jamais l’acheteur au courant des difficultés auxquelles il fera face. Après tout et tout compte fait, c’est le montant que l’acheteur va payer qui compte pour certain vendeur. Et ce, malgré les législations qui ont mis en place un certain nombre de réglementations pour protéger ce commerce.

Des propriétaires d’animalerie qui refusent carrément de vendre « une vie » car aimer c’est un attitude.

Ceci dit, il y a toujours des propriétaires d’animalerie qui refusent carrément de vendre « une vie » comme le répètent généralement les animal-lovers. Ils trouvent que c’est tout à fait cruel et inhumain, d’arracher un petit (chaton, chiot, lapereau ou autre) généralement âgé d’un mois ou deux, à sa maman, au risque de lui faire perdre la vie d’inanition ou de parvovirus.         

Cependant, plusieurs problèmes se posent pour ces consciencieux propriétaires d’animalerie et y faire face n’est jamais facile.

1 – La grande majorité des propriétaires d’animalerie dont le commerce se limite aux accessoires et à la nourriture animale aident des secouristes d’animaux errants et maltraités. Alors, ils ont des charges supplémentaires.   

2 – Les bénéfices qu’ils font en vendant uniquement des accessoires et de la nourriture pour animaux sont dérisoires comparés à ceux accumulés par les animaleries qui vendent des animaux domestiques.   

3 – La nourriture qu’ils offrent à nos petits compagnons joint souvent qualité et prix. Et ce, pour qu’ils compétitionnent dans un marché très concurrencé. Or, celle proposée chez les autres est souvent très chère par rapport à sa minable qualité. Et pourtant, achetée par des consommateurs ignorants qui font confiance à de cupides vendeurs.

4 – Le recrutement de l’animalière diffère d’une animalerie à l’autre. Souvent, on remarque que ce technicien de l’entretien et des bains de nos compagnons est une personne d’une longue expérience dans les animaleries qui s’interdissent la vente d’animaux, touchant une rémunération décente. Donc, encore une fois, des frais adventices, preuve de cet act d’aimer .

Pourtant la solution est simple mais dépend directement de la clientèle.

1 – S’interdire définitivement l’achat de ces petits compagnons.

2 – Adopter un animal domestique pure ou mix étant donné que tous méritent notre sympathie et compassion.

3 – Être conscient de l’importance de soutenir ces animaleries en achetant les produits qu’elles proposent à sa clientèle. Prenant en considération le soutien qu’elles portent à de pauvres créatures errantes, maltraitées et souvent rejetées par des propriétaires monstrueux. Des propriétaires qui les ont achetés par pure caprice ou bien pour les offrir en cadeau de fête à un enfant et puis s’en défont pour diverses raisons futiles.

 SPONSORISÉS PAR: