Dans son film “The Joker”, le réalisateur Todd Phillips s’est concentré sur l’origine de l’ennemi juré emblématique. Il a voulu raconter une histoire originale et autonome jamais vue auparavant sur grand écran. L’exploration par Todd Phillips d’Arthur Fleck, un homme ignoré par la société, n’est pas seulement un récit d’avertissement plus large.
C’est aussi une étude de caractère sérieuse, soutenue par la performance de Joaquin Phoenix. Cette performance est intrépide et stupéfiante, dans sa profondeur émotionnelle et physique.


“The Joker”; une adaptation fidèle à l’univers DC.
Dans sa forme, le film, basé sur des personnages de DC Comics, met en vedette Joaquin Phoenix dans le rôle du Joker. Il fournit une histoire d’origine possible pour le personnage.
Le contexte et la productiondu film “The Joker”.

Situé en 1981, Phillips suit Arthur Fleck, un comédien stand-up raté. Sa descente dans la folie et le nihilisme inspire une violente révolution contre-culturelle contre les riches, dans une ville en décomposition.
Phillips avoue avoir été inspiré par les études de personnages des années 1970 et les films de Martin Scorsese.
Il cite en particulier Taxi Driver et The King of Comedy.
La photographie principale a eu lieu à New York, Jersey City et Newark, de septembre à décembre 2018.
Un succès controversé et récompensé.
Malgré d’acerbes critiques à cause de la violence du film, Joker est devenu un succès majeur au box-office. Il a établi des records pour une sortie en octobre.
Le film a rapporté plus d’un milliard de dollars. C’est le premier film classé R à réaliser cet exploit. Il est aussi le sixième film le plus rentable de 2019 et le 31e de tous les temps.
Joker a reçu de nombreuses distinctions : 11 nominations aux Oscars. Parmi celles-ci, meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur pour Phoenix, et meilleure musique originale pour Hildur Guðnadóttir. Phoenix et Guðnadóttir ont aussi gagné aux Golden Globes et aux BAFTA Awards.


Une réflexion sociale.
Enfin, si l’on doit décrire le film en une phrase, il suffit de reprendre Chauncey K. Robinson dans People’s World : « Le film trace une fine ligne entre l’exploration et la validation du personnage de Joker, et est finalement un examen en face d’un système brisé qui crée ses propres monstres. »

 
         
	
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